« Je lui achetais des livres à couvertures mates que je lisais d’une traite, adossée à un muret de pierres qui chauffait mes omoplates. L’un d’entre eux racontait que dans une cordonnerie obscure de la médina de Marrakech, on pouvait acquérir des lacets et du temps, à condition de savoir nouer l’écheveau du passé et du présent. »
Natacha Wolinsky